Depuis « Le mal français » d’Alain Peyrefitte, paru en 1976 qui dénonçait une bureaucratie tatillonne, un excès de centralisation, une faiblesse de l’esprit d’entreprise et un Etat trop dirigiste, ouvrage qui connut un grand succès, jusqu’au dernier livre de l’ancien gouverneur de la Banque de France, Jacques de Larosière, qui se demande si « le déclin français est réversible », on ne compte plus les publications qui donnent une image négative de la France et de son économie. L’autodénigrement est devenu un sport national comme la ...